DBFC (electro-rock)
La formule, très organique, s’articule autour de la rythmique batterie – basse – guitare et secoue la nonchalance des clubs qui s’égareraient dans la perfection synthétique. Ici on transpire, on se lâche en bande goguenarde et on s’oublie sur des tourneries hypnotiques qui finissent par ensorceler. Le DBFC, vrai-faux fight club des pistes moites, parle assurément au ventre plutôt qu’à l’intellect. Si vous vous demandez encore à quoi la musique de DBFC vous fait penser, cessez de cogiter, rejoignez plutôt le club, dansez comme des diables et faites en sorte qu’elle vous ressemble !
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